Que ce soit du côté de nos détracteurs ou de celui de ceux supposés pouvoir nous soutenir, il n’y a plus aucune éthique ! De la part de nos détracteurs, on le savait depuis longtemps, mais de la part du Président du directoire de la NEF, la « Banque éthique », ça surprend… Cette dernière a été lumineusement créée par deux anthroposophes dans les années 70, qui rêvaient, de façon assez avant-gardiste, à une banque qui ne soit pas uniquement tournée vers le profit. Son objectif était de financer des projets durables, respectueux de l’Environnement, et portés par la volonté de bâtir un monde meilleur. En gros, bâtir « le monde d’après », bien avant « le monde d’avant » ! Une banque comme on aimerait en voir plus souvent…

Or, dans son délire vengeur contre la pédagogie Steiner-Waldorf, voilà que notre détracteur n°1, fort de son « aura » surdimensionnée (et expliquée ICI), étend bêtement ses assauts à tout ce qui touche, de près ou de loin, à l’anthroposophie. C’est ainsi qu’il a publiquement interpellé :

• d’abord la municipalité écologiste de Lyon pour lui demander de justifier son recours à la NEF pour certains de ses financements municipaux. NEF, qui d’après la psychologie malade de ce personnage serait une banque diabolique du fait de ses liens avec l’anthroposophie…
  Cela n’a pas manqué ! L’opposition municipale de Lyon, plus prompte à vouloir exister qu’à réellement défendre l’intérêt général, s’est saisie du sujet. Ah, électoralisme, quand tu nous tiens… C’est ainsi que la NEF s’est retrouvée dans cette bataille improbable, celle-là même que nous vivons quotidiennement en raison du suivisme de certains journalistes et de la lâcheté ou malhonnêteté intellectuelle de nombreux protagonistes… Car ce sont bien ces travers humains qui permettent la propagation des attaques surréalistes contre la pédagogie Steiner-Waldorf !
• ensuite la municipalité socialiste de Rennes, en interpellant l’opposition municipale.
• enfin la municipalité écologiste de Besançon… en interpellant l’opposition et la presse.